"Une politique d'équité entre tous les élèves réunionnais, et l'excellence de formation". Ces objectifs définis à plusieurs niveaux dans les interventions régionales, s'accompagnent de la volonté d'offrir à l'encadrement éducatif (19.470 agents et enseignants), et aux 210.000 élèves, un cadre de travail performant et efficace.
"Chaque année, nous investissons 34 % de notre budget, c'est-à-dire près de 172 millions d'€. C'est une somme considérable mais largement justifiée au regard des enjeux et du contexte". Le contexte, ce sont les difficultés encore profondes. Et cela concerne le plus souvent les enfants des milieux défavorisés "qui doivent franchir des obstacles ardus pour rejoindre le lycée, l'Université ou une grande école".
"L'avenir de La Réunion ne peut se penser et se construire sans l'école, l'école de la République. Les résultats positifs ne doivent occulter les réalités sociales et économiques : deux fois plus de chômage chez les moins de 25 ans qu'en métropole (23,5 % contre 51 %), La Réunion a le deuxième taux de sortie du système scolaire sans qualification (deux fois plus que la métropole), si dans l'Hexagone 64 % d'une génération va jusqu'au baccalauréat, à La Réunion, ce chiffre est de 54,1 % …", a indiqué Didier Robert.
Le président de la Région "ne veut pas que ces statistiques ne deviennent une fatalité. Ces chiffres de l'inégalité sont inacceptables. Notre action plus dynamique en direction des publics scolaires les plus défavorisés, tend avant tout vers l'égalité, une chance supplémentaire d'insertion scolaire ou de formation : Cases à lire, l'école de la deuxième chance, les cadets du RSMA…"
"Pour cette rentrée, nous avons également renforcer les aides aux étudiants, nous renouvelons les Plan ordinateur portable, nous confortons notre Plan d'aide aux communes (59 chantiers et 30 millions d'€) pour la réhabilitation entre des écoles et des infrastructures sportives. 76 millions ont été également investis pour la rénovation des lycées. L'enseignement supérieur et la Recherche n'est bien sûr pas oublié".
Didier Robert, président de la Région Réunion, l'a répété à plusieurs reprises : "Je ne veux perdre aucun étudiant. La volonté qui est la mienne est changer à la fois de rythme et de cap en matière d'éducation".
"Chaque année, nous investissons 34 % de notre budget, c'est-à-dire près de 172 millions d'€. C'est une somme considérable mais largement justifiée au regard des enjeux et du contexte". Le contexte, ce sont les difficultés encore profondes. Et cela concerne le plus souvent les enfants des milieux défavorisés "qui doivent franchir des obstacles ardus pour rejoindre le lycée, l'Université ou une grande école".
"L'avenir de La Réunion ne peut se penser et se construire sans l'école, l'école de la République. Les résultats positifs ne doivent occulter les réalités sociales et économiques : deux fois plus de chômage chez les moins de 25 ans qu'en métropole (23,5 % contre 51 %), La Réunion a le deuxième taux de sortie du système scolaire sans qualification (deux fois plus que la métropole), si dans l'Hexagone 64 % d'une génération va jusqu'au baccalauréat, à La Réunion, ce chiffre est de 54,1 % …", a indiqué Didier Robert.
Le président de la Région "ne veut pas que ces statistiques ne deviennent une fatalité. Ces chiffres de l'inégalité sont inacceptables. Notre action plus dynamique en direction des publics scolaires les plus défavorisés, tend avant tout vers l'égalité, une chance supplémentaire d'insertion scolaire ou de formation : Cases à lire, l'école de la deuxième chance, les cadets du RSMA…"
"Pour cette rentrée, nous avons également renforcer les aides aux étudiants, nous renouvelons les Plan ordinateur portable, nous confortons notre Plan d'aide aux communes (59 chantiers et 30 millions d'€) pour la réhabilitation entre des écoles et des infrastructures sportives. 76 millions ont été également investis pour la rénovation des lycées. L'enseignement supérieur et la Recherche n'est bien sûr pas oublié".
Didier Robert, président de la Région Réunion, l'a répété à plusieurs reprises : "Je ne veux perdre aucun étudiant. La volonté qui est la mienne est changer à la fois de rythme et de cap en matière d'éducation".